L’infini entre nous

N.S. Perkins, éditions Petit homme, 2024 (2022), 356 pages.

Note : 3.5 sur 5.

Violet doit retourner dans la maison d’été de son enfance. Depuis le drame qui est survenu cinq ans plus tôt, elle n’y a jamais remis les pieds. Ni revu ou reparlé à Will, celui avec lequel elle a passé des étés incroyables. C’est cinq ans plus tard que se passent les retrouvailles alors que Violet s’attend à vendre la maison.

Plus je lis des romances, plus je me rends compte que ce n’est pas particulièrement mon genre. Oui, j’en ai adoré certaines, mais les livres dans le style de L’infini entre nous avec des schémas plus typiques, ça me plait moins.

C’est une histoire somme toute mignonne. La réconciliation et la reconstruction qui guident la relation entre les deux personnages, mais aussi les personnages eux-mêmes est intéressante. C’est une complicité qui se renouvelle entre eux, laissant place à une romance du type ami.es à amants (friends to lovers).

De plus, le mystère qui règne tout au long du récit grâce à la narration en deux temps (aujourd’hui et cinq ans plus tôt) parvient à garder un certain intérêt du lectorat. On ne sait pas exactement le drame qui est arrivé, on a de petits doutes et de petites informations se dévoilent lentement. Le rythme est d’ailleurs parfois trop lent, laissant place à quelques longueurs.

Bref, c’est somme toute une romance intéressante, mais je n’ai malheureusement pas été chavirée.

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